Dans sa chronique de ce vendredi, 30 août 2019, Mamoudou Ibra Kane a ouvert… ses poumons pour exhaler le trop de plein de diesel aspiré sur les routes de plus en plus mortelles du Sénégal avec près de deux victimes qui, chaque jour, passent de vie à trépas par le fait de nos carcasses roulantes. L’alerte a, depuis longtemps, viré au rouge avec des accidents de la route de plus en plus préoccupants. Aveu d’impuissance de l’Etat, évaluations incomplètes, facteur humain, mais aussi et surtout négligence citoyenne ont fini de donner une courbe ascendante à l’insécurité routière : signe ultime de la profondeur du mal : l’accident du cortège du ministère de tutelle suivi de l’accident mortel de l’ambulance venue sauver les victimes du premier choc : stop. Il faut arrêter le massacre….