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La Ccr met en garde le C25 : «Que force reste à la loi »

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La Ccr met en garde le C25 : «Que force reste à la loi »

La sortie des candidats de l’opposition menaçant d’empêcher le candidat sortant Macky Sall de battre campagne pour la présidentielle de février 2019 irrite à bien des égards la Convergence des cadres républicains (Ccr). Dans une déclaration parvenue à Seneweb, ils mettent en garde l’opposition et invitent l’Etat à prendre ses responsabilités.

« Dans une rhétorique guerrière aux allures d’un appel à l’insurrection populaire, le Collectif des 25 candidats, C25, a décidé de saboter le processus électoral parce que conscient de son impopularité et son incapacité à mobiliser les Sénégalais », a constaté la Convergence des cadres républicains. Abdoulaye Diouf Sarr & Cie constatent pour s’en désoler que « cette démarche a comme unique projet de plonger le pays dans des troubles politiques en vue d’inscrire, contre la volonté du peuple, le Sénégal dans la liste des pays politiquement instable, dans un contexte où les projets structurants et les progrès économiques réalisés par le gouvernement sont unanimement salués en Afrique et dans le monde entier ».
Les Cadres Républicains, qui demandent aux Sénégalais de n’accorder aucun crédit « aux velléités subversives de ces pyromanes et fossoyeurs de la paix et de l’unité nationale », sont convaincus que «cette stratégie de la peur ne doit nullement prospérer dans un pays qui a toujours réussi ses transitions démocratiques dans la quiétude et en toute maturité ».
Toujours dans cette même déclaration, la CCR dit engager le gouvernement du Sénégal à prendre toutes les dispositions idoines pour que force reste à la loi rappelant à cet effet que «toutes les dispositions ont été prises par l’Etat du Sénégal pour garantir la tenue d’une élection présidentielle libre, démocratique et pacifique, à l’issue de laquelle, le peuple se choisira librement celui qu’il jugera plus apte à présider les destinées du pays. Toute démarche contraire à celle-là doit rencontrer la fermeté de l’Etat et ses démembrements ».
Soulignant enfin que l’histoire du Sénégal ne s’arrêtera pas le 24 février 2019, la CCR pense qu’il « est important de tenir compte des exigences de notre destin commun en censurant du discours politique, l’invective et les propos haineux, dans un contexte sensible de notre évolution ».
seneweb

 

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