L’autre raison qui motive le retour du poste de Premier ministre, selon le Ministre de la Justice, est relative à la présidence en début janvier 2022 de l’Union africaine (Ua). « Le Chef de l’Etat va assurer prochainement la présidence de l’Union africaine. Par conséquent, il sera très souvent absent du pays pour servir les intérêts de notre cher continent », a expliqué Me Malick Sall, qui souligne qu’il s’avère nécessaire de rétablir le Premier ministre, qui sera le coordonnateur de la mise en exécution de la politique déclinée par le Chef de l’Etat.
Appuyant cet argumentaire, Aymérou Gning, président du groupe parlementaire Benno Bokk Yaakaar (Bby), a rappelé « le calendrier très chargé du Chef de l’Etat » sur le plan diplomatique.
Lesoleil